"La France ce n'est pas la Grèce": pourquoi il n'y a pas (encore) de raison de paniquer

S i les marchés envoient des signaux négatifs quant à la situation financière française dans un contexte de fragilité de l'exécutif, la situation est loin d'être à la panique comme en 2011, à, une période où le spread avec l'Allemagne était deux fois plus élevé qu'aujourd'hui.