En manque de talents mais de sacrés bancs

" On s’en doutait en début de saison mais l’impression s’est confirmée en cet automne : oui, en L1, les vedettes sont bien les entraîneurs. Une mise en lumière positive mais qui compense mal un manque de talents, côtés joueurs, et qui ne dessine pas assez, présentement, de perspectives conquérantes à l’international…"