ASSE : Un constat alarmant pour Saint-Etienne après la défaite contre le Stade Rennais

L 'ASSE s'est inclinée à Geoffroy-Guichard face au Stade Rennais (0-2). Dans son analyse du match, Patrick Guillou estime que les Verts ont été complètement transparents. Il tire la sonnette d'alarme ! Patrick Guillou dézingue l'ASSE : "Naïve, sans talent et sans personnalité" Les supporters de l’ASSE ont répondu massivement présents lors de la réception du Stade Rennais. Plus de 30 000 supporters étaient au rendez-vous au stade Geoffroy-Guichard pour encourager les Verts vers la victoire. Cependant, ce soutien n'a pas suffi. L'AS Saint-Etienne a concédé sa 13e défaite de la saison, lors de cette 21e journée du championnat 2024-2025. Analysant le jeu produit par l’équipe d’Eirik Horneland, Patrick Guillou constate qu'elle a été dominée dans tous les compartiments du jeu. « Offensivement, le jeu était stéréotypé et sans prise de risques pour s'approcher du but adverse, même si Lucas Stassin a progressé dans sa relation avec ses partenaires. Défensivement, l'équipe est très légère : frilosité sur les côtés, placement naïf des arrières centraux par manque d'anticipation et un milieu de terrain sans personnalité », a commenté le consultant pour beIN Sports et le quotidien Le Progrès. Guillou fustige la stratégie de recrutement de l'ASSE : "Un océan de médiocrité" L’ancien défenseur de l’ASSE n’a pas épargné la direction du club stéphanois. Il estime que l’utilisation de la data pour le recrutement a ses limites chez les Verts. Patrick Guillou doute même du talent et de la qualité technique des recrues stéphanoises. « En coulisses, les stratèges transgressent les codes du recrutement pour trouver la perle rare, le joyau avec un "petit truc en plus" pour briller au milieu de cet océan de médiocrité. Face aux réalités financières, voici le décryptage en règle du football à Saint-Étienne. Face à Rennes, les pépites aux crampons de plomb avaient surtout un "petit truc en moins" : le talent. Quelques séquences dans les surfaces sont édifiantes, voire consternantes », a-t-il écrit dans sa chronique pour le journal régional.